J’y étais ma septième planète, un chiffre associé à la chance ! Cette merveille d’une couleur orangée ressemblait de loin à un autre soleil. Une découverte de cette importance, durant cette simple conquête, m’aurait été d’une grande satisfaction. En m’aventurant plus proche de l’étoile, j’ai pu constaté qu’il y avait une maison, une usine et un nombre impressionnant d’arbres. Par la suite, j’ai aperçu des paysans. Ils étaient exactement sept et d’un teint foncé. Cette planète était physiquement différente de mes autres rencontres.
Je me rendis donc sur cette planète nommée «Aero». La famille se nommait «Dieng», la mère m’accueillis en me serrant dans ses bras. Une réaction étrange qu’ils expérimentaient souvent par preuve d’affection. Khady, le père, m’expliqua qu’il était propriétaire d’un commerce de chocolat. Il vendait ceux-ci aux visiteurs de cette planète. Cette entreprise fonctionnait à l’aide de leurs fabuleux arbres appelés cacaoyers. La fève qui y poussait était ramasser et transformer pour donner une merveille en bouche : le chocolat ! Le soir venu, ils m’invita à une grande table où ils mangeaient. Au souper, Awa, la cadette des cinq enfants, m’expliqua que chaque jour, elle devait ramasser les fèves de cacao pour les apportés à son père, celui-ci les transformait à l’usine. Elle n’avas que dix ans et agissait comme un adulte avec un métier qui prenait tout son temps car elle devait faire le tour de la planète à pied ! Sa mère s’occupait de la maison et des enfants. Ils m’encouragèrent à passer la prochaine journée avec eux pour les aider à faire les récoltes quotidiennes. Évidement vivre en famille me plaisait, alors j’ai accepté l’invitation et nous sommes allés nous coucher.
Le lendemain matin, le seul coq de la planète hurla pour nous annoncer l’heure de se réveiller. Je suis parti accompagner de Awa pour débuter la collecte. Ils m’ont incité, grâce à mon travail remarquable, de rester quelques jours de plus. J’y suis finalement resté sept jours.
À ma quatrième journée, j’ai rêvé à ma fleur et elle se faisait manger toute crue. Ça m’a terrifié ! Ce rêve m’a hanté pendant les trois jours suivants. J’ai compris que ma rose était ma famille, que je devais m’en occuper comme khady et màmà s’occupaient de leurs enfants.
Je fis mes adieux pour retourner à ma planète voir ma fleur. Cette planète m’a éveillé au sujet de la collaboration et de faire attention à ceux qui nous sont chère ! Maintenant, j’ai une deuxième famille, chaque fois de je vais les revisités, je leur donne une colle et leurs achètent du délicieux chocolat !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire